
Je pense souvent à ce bon mot en guise de définition (à la Ambrose Bierce, auteur du merveilleux Dictionnaire du Diable) d'un jardinier anglais lorsque je réfléchis sur le destin moins que glorieux d'un certain nombre de variétés de vignes, alors que d'autres, pas forcément plus intéressantes, dominent le monde par leur polyvalence.
Pourquoi le Pinot Meunier est-il beaucoup moins célèbre que so...